Darlinn : L'espoir Français du Nu Disco
- l'Alpaga
- 15 avr. 2017
- 3 min de lecture
Ton Alpaga poursuit sa présentation du Label Riptide Music. Il souhaite aujourd’hui mettre en avant ce jeune artiste Darlinn, seulement 20 ans, et membre de ce label. Un artiste à suivre ...Voici son interview :

1) Une présentation en quelques mots ?
Salut, je m'appelle Darlinn, j'ai 20 ans, je suis français et producteur de Nu Disco. J'adore les synthés analogiques, et je préfère l'aube aux couchers de soleil.
2) Pourquoi le nom Darlinn ?
En fait quand j'étais petit, parfois mon père appelait ma mère "darling" pour se la jouer James Bond, et ça me faisait rire parce qu’elle n’aimait pas trop ça (rire). Puis je suis très attaché à la notion d"'amour" sous toutes ses formes, j'ai besoin de le montrer, et c'est un bon moyen que de m'approprier un nom un peu féminin, d'amoureux.
3) Quand as-tu commencé la musique ?
J'ai commencé la musique tout petit, vers mes 4 ans, j'ai fait du clavier, de la guitare, de la batterie, de la basse et un tout petit peu de violon. J'ai commencé à produire réellement des sons tout seul chez moi il y a 8 ans, et c'est depuis juillet 2016 (merci Michael et d'autres par la suite <3) que je découvre le monde des labels, des distributeurs, de la scène etc.
4) Pourquoi être devenu DJ ? En quoi cela est intéressant pour toi ?
En réalité je suis pas du tout DJ ! Sur scène je fonctionne aux claviers et aux pads uniquement, et avec mon ami Revers Gagnant, on fait un live hybride, c'est-à-dire qu'il mixe les sons aux platines, et moi je joue par dessus, comme ça les gens dansent, passent un bon moment, et nous aussi. C'est ce qui compte au final.
5) Le style musical que tu proposes ? Comment qualifierais-tu ta musique ?
Comme je l'ai dit, je produis du Nu Disco, donc c'est des sons plutôt groovy, joyeux. J'aime beaucoup les basses mélodiques et les violons/trompettes inspirées du funk. D'ailleurs je m'inspire surtout d'artistes comme Breakbot, Yuksek, Poolside, ou encore Chroméo, et je dirais que je propose une musique assez naïve et généreuse !
6) Ton petit coin secret où tu trouves l’inspiration ?
Ce serait entre autres la nuit, parce que je produis la plupart de mes titres bien après minuit, comme ça personne m’embête (rire), et puis je trouve ça inspirant de se dire que tout le monde dans la ville est en train de faire des rêves en ce moment même, ça me donne l'impression de pouvoir m'en servir pour composer.
7) Quelles sont tes actualités ?
Je suis super excité de sortir mon tout premier EP, "Sexpartite", le vendredi 19 mai ! Il y aura une release party au Flow Paris organisée par Maquisards, où jouerons notamment les talentueux lyonnais de Moi Je ou encore Pantéone !
J'ai aussi un clip qui va bientôt sortir pour une track que j'ai fait en collaboration avec Revers Gagnant, qui s'appelle Paris Rooftops, et qui est signé chez Big Top Amsterdam le label de Bakermat.
8) Peux-tu évoquer un moment inoubliable de ta carrière ?
Je pense que depuis l'été dernier, tout ce que j'ai eu l'occasion de vivre grâce à la musique est inoubliable, d'autant plus que ça évolue avec une vitesse folle et que je n’aurais jamais imaginé une telle évolution. Si je devais dire un moment en particulier je dirais par exemple le jour où j'ai justement reçu un message privé de Bakermat sur Soundcloud pour me dire qu'il souhaitait signer Paris Rooftops sur son label, j'étais comme un fou je n’y croyais pas et pourtant il me parlait bel et bien alors que c'est une des plus grosses stars mondiales, et maintenant il me considère comme un pote, et rien que ça c'est juste dingue...
9) Un mot pour la fin ?
Bien sur ! On se retrouve en live avec Revers Gagnant le 16 avril (veille de jour férié) au Faust, aux côtés de NHYX, Ruca et Antoine Chambe pour la Riptide Night, et puis au festival Maquisards dans le sud le 23-24-25 juin, aux cotés de la team Roche Musique, mais aussi de Tez Cadey, Superpoze ou encore Thylacine par exemple !
Et bien sur, merci l'Alpaga !
N’hésitez pas à venir écouter cet artiste au Faust dimanche 16 Avril, vous pouvez acheter vos places ici. Pour finir cette interview en beauté l’Alpaga souhaite te faire écouter la musique « Paris Rooftops » :
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